Une exigence de transparence en matière de gouvernance est nécessaire et devra être accompagnée d'une nouvelle politique concrète en matière de gestion des ressources humaines.
La construction de notre pays après 40 années d'indépendance marquée par des réalisations mais également pour par des échecs exige de chacun d'entre nous le meilleur de soi-même pour des Comores prospères et émergentes d'ici 2030.
Nous devons reprendre en main notre destin et notre pleine souveraineté économique et financière par des actions réformistes propres et non toujours compter sur l'assistance internationale.
Des mesures urgentes s'imposent dès la prise de fonctions du nouveau président quelle que soit sa couleur politique.
Une exigence de transparence en matière de gouvernance est nécessaire et devra être accompagnée d'une nouvelle politique concrète en matière de gestion des ressources humaines.
Un vaste programme de mobilisation des ressources internes, à commencer par les recettes fiscales et non fiscales, y compris l'instauration d'une culture de l'impunité zéro sans faire la chasse aux sorcières mais de faire valoir une véritable justice constitue la pierre angulaire du développement des Comores. Il est grand temps de sortir de la petite politique politicienne qui a détruit notre pays. Les actions et les réformes doivent être rigoureuses, durables et efficaces avec le souci de la concertation et de l'implication des agents ou publics concernés par les réformes. Les chantiers sont nombreux à commencer par l'électricité, la santé, la modernisation et l'adaptation du système de l'éducation national, la mobilisation des ressources internes, la justice, la lutte contre la corruption et le renforcement de l'Action publique avec une réforme en profondeur de notre administration. L'emploi devra être au coeur des préoccupations des responsables politiques en favorisant les créations d'emplois dans de nouveaux secteurs clé hors administration publique tels l'économie numérique, l'économie marine, le tourisme, la promotion du secteur privé et de l'agriculture.
Il convient de placer les bonnes personnes aux bons postes. À défaut, le pays risque de sombrer dans les abîmes de la régression sociale, économique et politique.
Tout est question de volonté, d'organisation, de détermination et de vision. Le nouveau chef d'Etat peu importe son bord politique sera le président de tous les Comoriens et devra assumer pleinement ses responsabilités en pacifiant le pays et sans pouvoir se défausser sur ses collaborateurs. La Paix et l'Unité nationale vont de pair avec le développement économique et social.
Ceec Comores Développement
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